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jeudi 17 juin 2010

Partenariat public-privé nécessaire à la recherche en biotechnologie

Il ya des développements très intéressants dans le domaine de la biotechnologie agricole qui se déroule actuellement en Inde.

Le Maharashtra Hybrid Seed Company (Mahyco) a proposé de transférer la technologie et le matériel de reproduction de base de Bt Brinjal, un légume hypocalorique largement cultivé en Inde, deux institutions du secteur public; Le Tamil Nadu Agricultural University, Coimbatore (TNAU) et l'Université des sciences agricoles, Dharwad (UASD).

Les institutions du secteur public ne paiera pas de redevance tant qu'ils ne sont pas commercialiser les génétiquement modifiés Brinjal. Il s'agit d'une très rare, mais le geste hautement significatif.

sociétés privées de semences, en particulier dans le domaine de la biotechnologie, ne sont pas connus à partager librement l'information INNOVATION avec les organisations publiques. Ils gardent ces informations en vertu d'une clé par crainte de violation de brevet. Bien que cela soit compréhensible, il a alimenté l'animosité et la méfiance parmi les scientifiques travaillant dans les institutions publiques, en particulier dans les pays en développement.

De toute évidence, aucune société ne serait disposé à investir des milliards de dollars pour développer des variétés de semences nouvelles que pour un scientifique fauteuil de copier les chats. Mais la nécessité de protéger les renseignements exclusifs ne devraient pas remplacer la volonté des entreprises de semences à des partenariats avec des institutions publiques. Ce faisant, ils nient la foule anti-Biotech une chance pour caractériser les sociétés de biotechnologie comme égoïste et secrète.

Mahyco a mis un bon exemple que toutes les entreprises de semences biotechnologiques devraient suivre. Les entreprises de biotechnologie ont tout à gagner si elles ouvrent leurs portes plus larges pour les institutions publiques. Ceci est particulièrement critique en Afrique, où les cultures génétiquement modifiées ne sont pas encore à faire des percées majeures.

On ne peut pas nier qu'il existe déjà un tel partenariat se passe en Afrique. Au Kenya, par exemple, le Kenya Agricultural Research Institute (KARI) travaille en étroite collaboration avec les entreprises de semences biotechnologiques dans le développement de maïs génétiquement modifié résistant aux foreurs de tiges. Mais plus cette société est nécessaire pour accélérer l'adoption des cultures génétiquement modifiées dans les pays en développement.

cet article est traduisé en francais
l'origine de cet article (en anglai): http://ezinearticles.com/?Private-Public-Sector-Partnership-Necessary-in-Biotechnology-Research&id=292680

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