techniques des eaux souterraines dans les zones semi-arides sont souvent pas suffisamment caractérisée hydrogéologique et des informations à long terme ne sont généralement pas obtenus. des séries chronologiques de longue durée de sont essentiels néanmoins le style des scénarios futurs de captage des eaux souterraines ou de prédire l'impact des résultats futurs changements de l'environnement sur les moyens les eaux souterraines.
Pour surmonter ces difficultés, une approche intégrée pour la fourniture de la base de données fiables selon les informations éparses et floue est proposée. Cette méthode intégrée est démontrée à l'aide de la région la plus basse de la vallée du Jourdain. Un modèle conceptuel d'écoulement est de créer en fonction géologiques, hydrochimiques et techniques géophysiques.
Le bilan hydrique est calculé sur la base des données historiques, combinée avec les techniques de télédétection. A propos de la base de ces conclusions d'un design pratique SteadyState numérique a été mis en place. La réduction la vallée du Jourdain fait partie de la mer Morte en Jordanie - Wadi Araba la vallée du Rift, qui s'étend dans la mer Rouge et au-delà du lac de Tibériade avoir un grand 107 km faille de décrochement senestre entre la plaque arabique à l'est et le nord-est partie de la plaque africaine à l'ouest. En raison des forces d'extension, une profonde dépression connue sous le nom - pour des raisons historiques - la Jordanie "graben", s'est formé.
Au cours de l'histoire moderne géologiques, il a été comblé par les évaporites, les sédiments lacustres et fluviaux éléments clastiques (Niemi et al. Al. 1997). Protégé par les épaules de haute montagne de l'Ouest et l'Est de la Banque ainsi que l'aide de la faible altitude de -300 à -415 m sous le niveau moyen de la mer et la saison longue et chaleureuse au sein de la direction la vallée du Jourdain à des conditions d'accueil chaleureux naturelles.
En conséquence, la zone est utilisé intensivement pour l'agriculture. En conséquence des centaines de puits peu profonds ont été forés et de grandes quantités d'eaux souterraines analysés. Depuis les années 1960, les eaux souterraines de haute qualité peut être se détériore rapidement et les indicateurs de pompage excessif et de plus en plus la salinité des sols est devenu évident.
Avec captage des eaux souterraines lourds, la reconstitution des nappes aquifères vallée du Jourdain est diminué par le détournement et le stockage de grandes quantités d'eau potable, chacun en barrages construits le long de la Wadi principaux débouchés sur le site de la vallée de la Jordanie et par le détournement de la plupart des frais l'eau du lac de Tibériade.
La zone d'intérêt s'étend de la Mer Morte dans le sud de la ville de Karameh au nord, du Jourdain à l'ouest jusqu'à la marge de collines de l'ouest de l'institution financière est à l'est. Néanmoins, les strates consolidés de l'Est ont été inclus dans cette étude tout simplement parce que l'on peut supposer que la composante majeure de la recharge de l'aquifère non consolidées provenant de ce domaine.
Alors que vous pouvez atteindre un état durable des moyens de l'eau potable et de quantifier l'effet du climat sur les ressources en eau de modifier une évaluation correcte des ressources en eau souterraine que bien que leur qualité est vraiment une condition préalable.
Par conséquent, le but de ce post est de conduire à une meilleure compréhension hydrogéologique de la nappe phréatique dans les sédiments meubles de la vallée du Jourdain réduit et la Jordanie. Afin de décrire le programme suffisamment hydrogéologique complexe de circulation d'une approche intégrée, combinant géologiques, géophysiques, hydrogéologiques, les méthodes historiques et chimique a été choisi.
La géométrie de l'aquifère et de la composition est décrite à l'aide de données géologiques, hydochemical et techniques géophysiques. En ce qui concerne le budget des dépenses d'eau est concernée, la recharge de l'aquifère est estimée par des méthodes géologiques et des ensembles d'informations obtenues, tandis que l'abstraction de l'aquifère est estimée en utilisant l'aide des méthodes de télédétection (Landsat ensembles d'information).
Une méthode historique est utilisée pour détecter les conditions générales dans lesquelles le programme des eaux souterraines peut être dans le passé. Ces informations sont ensuite mises en œuvre dans une conception de flux. Ce modèle de circulation doit être capable de décrire les intervalles de stress représentés sur les systèmes d'eaux souterraines afin de permettre de donner des prévisions fiables concernant l'impact de scénarios de changement pour l'environnement sur le système des eaux souterraines.
Le modèle d'écoulement fournit les moyens pour tester la cohérence de l'ensemble des informations historiques, plutôt hétérogènes et permet la simulation de l'effet potentiel des méthodes de gestion en tant que bien que le climat de modifier les scénarios. Le bio, anthropogénique du système d'écoulement inchangée est adressée, que bien que les effets des intervalles accent tonique dans les années 60, l'influence des événements de 1967 et leurs suites, les événements pluvieux extrêmes et les intervalles de la sécheresse sur le programme des eaux souterraines.
Une conception de circulation des eaux souterraines prévisions doivent être testés contre ces occasions afin de fournir des prévisions réalistes des scénarios possibles. La réduction de la vallée du Jourdain comprend une longue histoire d'occupation humaine et donc l'agriculture. Bien que des intervalles d'utilisation mineure voire à l'abandon se produit tout au long de son histoire.
La ville de Jéricho, fondée entre le 9 au 8e millénaire avant JC est reconnu pour devenir la plus ancienne ville continuellement peuplée du monde et est situé à 8 km à l'ouest de la région de recherche. Les fouilles dans le Wadi Shueib remontant vers la culture néolithique de démontrer très tôt par l'homme.
Le règlement et les activités agricoles dans les temps anciens sont généralement limités à la disponibilité des moyens de l'eau potable et la Grande terres agricoles. A l'intérieur de la région de l'intérêt du Jourdain se coule à l'intérieur d'une gorge 15-30 m de profondeur (en arabe: Zor).
Outre dans les résidus des plaines d'inondation de la rivière Jordan anciens, qui pourraient être considérés comme des bonnes terres agricoles, à proximité de la rivière Jourdain coule dans la formation du soft Lisan, qui peuvent être impropres à l'agriculture en raison de sa forte teneur en sel (p. ex Premier et al. 1974, Gibbs 1986, Landman et al 2002). En conséquence, seuls endroits à proximité de la sortie des principaux oueds, là où un débit pérenne de l'eau potable dans les collines de l'Est offre d'eau potable en quantité suffisante, sont propices aux activités agricoles.
Après l'arrivée des premiers explorateurs européens et américains dans la fin du 19e siècle le domaine de recherche a été décrite étant une région chaleureuse et inhabité, impropre aux activités des établissements humains (Burckhardt 1822). Le tout premier rapport détaillé décrivant l'utilisation de l'eau potable dans la vallée du Jourdain a été
le rapport publié par Ionides (1939) "L'eau potable au moyen de la Transjordanie et leur développement».
Conformément à la déclaration que 9 puits ont été forés avant 1938. En 1938, une société de forage Haïfa charge foré 18 puits modernes. En ce qui concerne l'agriculture de l'auteur a noté que l'agriculture n'est possible que par l'irrigation. L'eau d'irrigation provenait surtout des cours d'eau permanents dans la vallée et à seulement quelques techniques d'irrigation moderne existaient.
Bédouins leurs terres irriguées par des canaux de la terre de dériver l'eau dans les points d'oueds principaux. Ionides décrit ces canaux comme très inefficace, parce que la plupart de l'eau s'infiltre ou s'évapore sur le chemin de terres agricoles. Blé, orge et le maïs sont les cultures dominantes à cette époque. Une transformation majeure d'une région presque inhabitée avec seulement l'agriculture mineur a commencé juste après 1948.
Juste après la guerre de 1948 réfugiés palestiniens le long de son engagement accru des principaux propriétaires terriens familles jordaniennes abouti à l'amélioration de l'agriculture dans la vallée du Jourdain (Khoury, 1981). Cette amélioration dans les activités agricoles se traduit par l'amélioration majeure dans bien de forage. Conformément à Tleel (1963), la phase majeure de forage de puits nouveaux ont commencé à proximité du milieu des années cinquante et des signes évidents de pompage excessif a pu être observé au début des années soixante.
Étant une conséquence des restrictions de forage premier avait été publié en 1961. Entre 1953 et 1963 62 puits avaient été forés nouvelles dans le domaine de Karameh, 122 dans le Nimreen Shuna, et 133 dans la région de Sweimeh, Ghor El Rama et de Ghor el Kafrein. Le forage de nouveaux puits et donc abstraction de plus grandes quantités d'eau souterraine a atteint son apogée en 1967.
Les événements politiques de 1967 a presque toutes les actions agricoles à quelque halte. Ce ne fut pas avant 1971 que les actions agricoles ont commencé à s'améliorer à nouveau. Deux barrages en terre à l'intérieur du magasin région étude de l'eau de ruissellement excédentaires de leur côté des oueds pour l'irrigation.
Ces barrages sont construits de 1968 Wadi Shueib un barrage et d'une capacité de près de 2.three Mm3 et celle de 1968 Wadi Kafrein barrage d'une capacité de 3,8 mm, posées à la fin de l'Mm3 des années 90 à 7,5 (Salameh et Bannayan 1993, ouverte MWI fichiers) tous deux situés à la sortie des oueds majeurs. En raison de la cours
dépôt des sédiments, transportés essentiellement à droite après des tempêtes lourds, la diminution de la capacité. Conformément à Lenz (1999) ils permettent également de recharger locale résultant d'une fuite.
En 1986, rebaptisé le Roi Abdullah Canal (KAC), précédemment connu sous le nom général East Ghor Canal, est juste après sa troisième extension (réalisées entre 1984 et 1989) de 14,3 km, le troisième source allochtone de l'eau potable d'irrigation dans la région de recherche. Le KAC transporte de l'eau d'aussi loin que la rivière Yarmouk.
Vers le sud de l'eau d'appoint des oueds, côté est ajouté et eau à usage domestique ainsi que l'irrigation est détournée dans le canal. Aujourd'hui, les eaux souterraines n'est plus la principale source d'eau potable d'irrigation dans la zone de recherche et de forage de nouveaux puits nécessite un permis délivré par le ministère de l'Eau et de l'irrigation (MWI). Néanmoins de nombreux puits illégaux dans clôturé fermes privées existent encore et extraire des quantités inconnues de l'eau souterraine.
cet article est traduisé en francais
l'origine de cet article (en anglai): http://ezinearticles.com/?Investigating-Unconsolidated-Aquifers-in-an-Arid-Environment-of-the-Lower-Jordan-Valley,-Jordan&id=4171201
vendredi 18 juin 2010
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