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samedi 22 mai 2010

Les technologies modernes agricole déterminants pour la sécurité alimentaire en Afrique

Deux grandes fondations aux États-Unis ont annoncé un grand projet pour rajeunir l'agriculture en Afrique. La Fondation Bill et Melinda Gates et la Fondation Rockefeller dépensera 150 millions de dollars vers le vert en train de révolutionner l'agriculture en Afrique.

Le programme, selon un communiqué de presse conjointe des deux fondations, "avoir l'intention d'améliorer le développement agricole en Afrique en s'attaquant à la fois l'agriculture et des questions économiques pertinentes, y compris la fertilité des sols et l'irrigation, les pratiques de gestion des agriculteurs, et l'accès des agriculteurs aux marchés et le financement."

Il ne fait aucun doute que cette initiative est venue à un moment opportun. l'agriculture en Afrique est proche de l'effondrement total et il faut ré-ingénierie d'urgence. L'Afrique a été lent à embrasser les technologies de pointe comme la biotechnologie agricole qui ont transformé l'économie de nombreux pays en développement comme l'Inde, l'Afrique du Sud, le Mexique, l'Argentine, le Brésil et la Chine.

Cette initiative a de bonnes chances de transformer l'agriculture africaine. Pour que ce rêve se réaliser, cependant, toutes les technologies agricoles modernes doivent être explorées. Bill Gates, co-président de la Fondation Gates envisage "scientifiques plante africaine de développement à plus haut rendement et à la sécheresse des cultures résistantes et les entrepreneurs africains à partir des entreprises de semences pour atteindre les petits agriculteurs ..."

Développement à haut rendement et à la sécheresse des cultures résistant restera un rêve tant que l'Afrique continue d'afficher de nouvelles technologies agricoles prévues par l'Occident comme des instruments de domination. Cela a été, en particulier, le cas de la biotechnologie agricole. Des militants anti-biotechnologie ont rendu les agriculteurs africains à croire que la biotechnologie agricole ne sert que les intérêts des multinationales semencières. Ceci est trompeur.

Alors que l'Afrique se prépare à recevoir les fondations Rockefeller et Gates largesses, il doit, tout d'abord, d'apprécier que le rejet de ces technologies agricoles innovantes comme la biotechnologie par une vague main ne seront pas de servir ses intérêts agricoles.

Il est instructif de mentionner que l'Union africaine (UA) a un rôle central à jouer pour assurer que les bénéfices de l'Afrique du maximum des gains du roman de technologies agricoles telles que la biotechnologie.

L'année dernière, l'Union africaine à travers le Nouveau Partenariat pour le développement de l'Afrique (NEPAD), a mandaté un groupe de scientifiques africains et les décideurs politiques pour étudier comment la biotechnologie moderne pourrait être intégré dans les secteurs de l'Afrique agricoles et de santé. Le groupe, co-présidé par le professeur Calestous Juma de l'Université Harvard, a déjà rédigé un rapport qui, entre autres, propose la création d'régionales "centres d'excellence» pour la recherche en biotechnologie. Le rapport sera présenté aux chefs d'État africains réunis en Janvier 2007. UA doivent ratifier le présent rapport pour permettre à l'Afrique à améliorer son agriculture.

cet article est traduisé en francais
l'origine de cet article (en anglai): http://ezinearticles.com/?Modern-Agricultural-Technologies-Key-to-Africa%92s-Food-Security&id=323898

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