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jeudi 27 mai 2010

Comment le Nepad et l'ONU ne peut sauver l'agriculture de l'Afrique

La semaine dernière, une vingtaine d'agences Unies (ONU) se sont réunis à Addis-Abeba, en Ethiopie, pour découvrir comment ils peuvent aider le Nouveau Partenariat pour le développement africain (NEPAD) à atteindre ses objectifs.

La mission principale du NEPAD est de mettre fin à la pauvreté chronique en Afrique, par, notamment, l'intégration des technologies agricoles innovantes, telles que la biotechnologie, dans les économies des pays africains.

L'agriculture étant le pilier des économies de la plupart des pays africains, le NEPAD devrait exploiter les ressources à divers organismes de l'ONU axées sur l'agriculture afin de faciliter son rajeunissement. Il n'y a pour l'alimentation et l'agriculture (FAO) qui a, pendant de nombreuses années, fait la promotion des droits des agriculteurs africains. L'Organisation mondiale de la Santé (OMS), d'autre part, a été très enrichissant pour donner des conseils d'experts sur la sécurité alimentaire, la plus mémorable étant une déclaration que les aliments génétiquement modifiés ne posent pas de risques pour la santé des consommateurs.

Il faut, cependant, de constater que le succès de cette initiative dépend en grande partie sur la volonté du NEPAD à persuader les agriculteurs et décideurs africains d'être prêts à adopter des techniques agricoles plus productives telles que la biotechnologie. agences de l'ONU ne suffit pas à apporter la prospérité à l'Afrique. Les agriculteurs africains et les décideurs doivent prendre conscience que le monde, aujourd'hui, est un village planétaire, où les technologies pays partagent librement.

Le NEPAD a déjà fait des progrès reconnaissable à convaincre l'Afrique à intégrer les technologies agricoles modernes, tels que la biotechnologie, dans leurs économies. NEPAD pour la science et la technologie Secrétariat, par le biais de notes d'orientation, des conférences et prises de position, a été activement vantant les biotechnologies agricoles modernes comme la nouvelle frontière à la sécurité alimentaire.

Il ya trois mois, le Nepad a publié un projet de document sur les applications potentielles de la biotechnologie moderne dans les économies des pays africains. Pour être déposé au cours de l'chefs d'Etats africains réunis à Janvier, l'année prochaine, le papier, entre autres choses, demande aux gouvernements africains d'intégrer la biotechnologie moderne dans leurs plans de développement. Il appelle à une approche intégrée de la biotechnologie agricole.

Tous ces efforts sont louables, mais Nepad peut toujours faire plus. Afin de garantir l'Afrique bénéficie au maximum de, par exemple, la biotechnologie agricole moderne, le NEPAD doit redoubler d'efforts pour aider les gouvernements africains à élaborer des protocoles de biosécurité. Elle peut le faire en faisant du bénévolat assistance technique.

Collaboration avec une agence des Nations Unies comme l'Organisation mondiale de la Santé (OMS), qui a été actif dans la recherche sur la sécurité des organismes génétiquement modifiés (OGM), serait utile. Un tel organisme peut aider à corriger la désinformation qui accompagne le débat sur les aliments génétiquement modifiés.

cet article est traduisé en francais
l'origine de cet article (en anglai): http://ezinearticles.com/?How-Nepad-and-the-UN-Can-Save-Africas-Agriculture&id=369909

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