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lundi 15 mars 2010

Paris, la Palestine et promesses

Tony Blair a estimé qu'il ne prend pas trop d'effacer le sourire de son visage lorsque vous tentez de résoudre les revendications concurrentes arabes et juifs sur le territoire une fois appelé la Palestine - connu aujourd'hui comme Israël, la Jordanie, la Cisjordanie et de Gaza.
L'éblouissement razzle de la Conférence internationale des donateurs pour l'État palestinien qui s'est tenue à Paris en Décembre l'année dernière sous Co de M. Blair vis-présidence des Etats-Unis 7,4 milliards de dollars promis sur trois ans par la communauté internationale pour répondre à un hâtivement préparée plan préparé par l'Autorité palestinienne, le Premier Ministre Salam Fayyad.
Au moment où le président et les deux co-présidents de la Conférence de Paris a convoqué de nouveau à Paris en Janvier pour examiner les progrès en cours, un autre 300 millions de dollars avaient été ajoutés à la promesses de dons.
Toutefois arabe Les pays donateurs - dont on pourrait s'attendre à être parmi les plus intéressés à voir la création de l'Etat palestinien - ont contribué seulement 20% des fonds promis. Ils étaient en indiquant clairement à leurs carnets de chèques qu'ils n'ont pas été trop confiant que l'Etat palestinien proposé par le président George Bush était susceptible de eventuate - après 5 ans d'intenses pressions diplomatiques ont échoué pour le porter à même la première étape de mise en œuvre.
D'autre part l'Europe avait promis 53% des fonds - en indiquant l'enjeu énorme qu'ils étaient prêts à investir dans assistons à la création d'un autre Etat arabe - le 23 - qui sera située entre Israël et la Jordanie d'ici la fin de cette année. Leur optimisme en Décembre est difficile à sonder.
Les mois suivants ont depuis lors connu un sobre réalisme que cet argent ne peut résoudre le problème alors que les questions politiques reste à trancher. En effet, ces donateurs semblent destinés à voir leur argent de suivre les milliards de dollars qui ont disparu au cours des 15 dernières années sans aucune amélioration sensible des conditions de vie des gens pour qui ces largesses est maintenant spécifiquement destiné.
Les cloches ont sonné l'alerte au Séminaire des Nations Unies sur l'assistance au peuple palestinien, tenue à Amman les 18-19 Février lorsque les remarques suivantes ont été enregistrées:
"La coordination des donateurs Adviser, Bureau de l'Envoyé spécial du Quartet (Tony Blair) à Jérusalem, Tor Wennesland, a déclaré qu'il avait espéré qu'il aurait été en mesure de signaler certains grands succès au séminaire. Son bureau se déplaçait au sérieux avant sur quelques grands secteurs et espère que ces efforts seraient devenus spécifiques et concrètes et visibles peu, mais M. Blair tente de parvenir à la revitalisation économique dans une situation où la capacité de l'Autorité palestinienne a été sérieusement entravée. En bref, «le travail que nous avons fait a été un grand pied d'une colline très raide"
M. Wennesland averti:
"Il n'y aura pas de croissance durable dans les zones palestiniennes avant qu'il y ait une solution politique négociée à la question du statut final. Cela signifie que ce qui est fait maintenant serait de nature temporaire. Il y avait des limites à ce qui pourrait être réalisé sur le plan du développement économique et, étant donné les contraintes actuelles. Tel était le défi et la réalité. "
Il a avoué:
"Une partie importante de la vision« Blair »avait été de revitaliser le secteur privé dans le territoire palestinien, mais« nous ne sommes pas encore là. " [http://www.reliefweb.int/rw/RWB.NSF/db900SI D/EGUA-7BZTHG? OpenDocument]
Les donateurs qui ont commencé à honorer leurs engagements dans les premiers jours de Janvier doit désormais être préoccupés par leur décision de se séparer de leur argent si rapidement. Ils doivent être inquiets pour leur argent se retrouvent dans la fosse sans fond de corruption, qui a enveloppé l'Autorité palestinienne et semble susceptible de se produire à nouveau plus tard la suite de cette manne pour sortir de Paris.
Tony Blair n'est cependant pas découragée et sollicite maintenant encore des fonds supplémentaires à ajouter à des engagements de Paris en dépit des avertissements lancés par son coordination entre les donateurs Conseiller il ya tout juste trois semaines.
Il a aujourd'hui exhorté les investisseurs du secteur privé à participer à une conférence à Bethléem, en Mai dire "la Palestine est ouvert aux affaires"
«Le monde est invité à la fête que nous jetons», a ajouté le Premier ministre Fayyad. "Du fond de toute cette misère, nous, les Palestiniens sont déterminés à autoriser et à construire cet état, malgré tous les obstacles."
M. Blair voit la conférence de Bethléem comme le partenaire du secteur privé à la Conférence des donateurs de Paris. Mais les investisseurs privés seront sans doute tenir compte de l'avance prise par les pays arabes et écouter très attentivement ce que M. Wennesland avait à dire avant d'être incité à investir leur argent avec l'Autorité palestinienne.
M. Blair sera le lancement du Tony Blair Faith Foundation tard cette année. La Fondation est de promouvoir la compréhension entre les grandes religions et accroître la compréhension du rôle de la foi dans le monde moderne.
M. Blair a certes fait un bond en avant de la foi dans le traitement de l'Autorité palestinienne et on ne peut que lui souhaiter le «meilleur de la Colombie"
Les chances sont cependant qu'il va se retrouver avec l'oeuf sur son visage - comme tant de gens de bonne volonté qui l'ont précédé et a constaté que lorsqu'il s'est agi d'envoyer de l'Autorité palestinienne n'était pas prête à abandonner sa demande de restitution de l'ensemble de la Cisjordanie et Gaza et pour des millions d'Arabes à donner le droit de vivre en Israël.
Tant que ces problèmes soient résolus les pays donateurs et des investisseurs privés seraient bien avisés de garder leurs fonds fermement sous leur contrôle. Peut-être ce genre de boycott monétaire pourrait induire certains changements dans l'attitude intransigeante de l'Autorité palestinienne et créer la percée qui a jusqu'à présent échappé à tous ceux qui ont essayé.
Avec seulement neuf mois à tirer une telle perspective de succès semble sombre.

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